Comment la startup de Marc Simoncini a déraillé

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La marque de vélos high-tech met la clé sous la porte. La fin d’une aventure laborieuse qui laisse des milliers d’utilisateurs sur le carreau.
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Date: February 16, 2025

28 thoughts on “Comment la startup de Marc Simoncini a déraillé

  1. Mon ancien VAE de chez Piaggio a eu la même mésaventure.
    L'aveuglement de se croire plus intelligent que les chinois, c'est le cas de beaucoup d'entreprises européennes.
    Commencer par reproduire une chaîne de fabrication solide en France.
    C'est moins glamour et plus efficace.

  2. Simoncini qui se lance dans le vélo … Je suis mort de rire … Il y a longtemps que les vélos Français, sont fabriqués en Chine. Donc tant qu'a faire, autant acheter à la source.

  3. Enfin il reste du made in France de qualité. C’est vrai que c’est plus cher mais c’est loin d’être impossible, et quand c’est bien conçu c’est un gage de qualité. Regardez Adial, dans le secteur de l’industrie, qui fait des distributeurs automatiques de Pizzas. Plus gros fabriquant du monde, meilleure bécane du monde, OFG garantie…

  4. La fin d'Angell était prévisible dès le départ car, en tant que créateur, designer et concepteur faisant du vélo, j'ai de suite vu que ce vélo ne serait pas fonctionnel et inutilisable. Il ne suffit pas d'être millionnaire comme Cimoncini pour réussir un concept. Il faut d'abord savoir ce qu'est un vélo et comment le réaliser et le vendre à un prix abordable. Ce vélo était rempli de défauts et voué à l'échec. Mister Lilo, concepteur.

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